La sexualité des jeunes filles commence de plus en plus tôt… L'une des principales conséquences est qu'elles ne sont pas toujours suffisamment bien informées des risques d’une sexualité non protégée et des moyens de contraception. Elles prennent moins de précautions, n'osent pas poser de questions ou partager leurs impressions. C'est ainsi que le planning familial accueille de plus en plus de jeunes mineures en détresse pour les écouter, les rassurer, les informer et les accompagner dans le choix d'une contraception ou si nécessaire vers une IVG (interruption volontaire de grossesse).
Les jeunes filles mineures sont particulièrement protégées par la loi dans ces situations délicates d'interruption volontaire de grossesse. Le consentement de leurs parents n'est pas obligatoire, bien que préférable évidemment. Mais les jeunes filles mineures peuvent cependant se faire accompagner dans leur démarche d'avortement par la personne majeure de leur choix.