Pour certains couples désespérés, leur désir d'enfant les pousse aussi à se rendre là où la rémunération des mères porteuses est acceptée. L'absence d'un encadrement légal dans certains pays favorise ainsi des risques d’arnaque. En Ukraine par exemple, les mères porteuses se recrutent via des petites annonces et demandent entre 15 000 et 30 000 euros (contre près de 50 000 dollars aux Etats-Unis où la pratique est encadrée).
Afin de limiter ces risques, l’association Maia milite pour que les couples optant pour une mère porteuse ne soient plus dans l’illégalité.
Cette situation fait toujours débat. Les associations militent afin de légaliser la pratique en France, mais les choses ne semblent pas bouger en leur faveur encore. Ce débat reste ouvert, et passionnant.